Qu’il soit d’Evolène, de Fully, de Nendaz ou de Savièse, le patois, ça s’écoute, ça se lit et ça se parle. Et pour s’y frotter, un seul endroit : le e-campus de la Fondation du patois.
Le patrimoine culturel valaisan est passé à l’ère 2.0, avec des cours sur internet, une application et un livret interactif… Patrick Ferrari, journaliste-tchatcheur au Nouvelliste, a tenté la méthode en ligne. Voyez plutôt !